"Je me sens mendésiste dans l’idée que faire n’est pas forcément durer"

Mouarf… Et sinon, pour tout le reste, je suis plutôt mitterrando-chiraquien. Qu’est-ce qu’on rigole l’été…

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8 Commentaires

  1. Et si on parlait d’économie, histoire, pour une fois, de laisser les cons entre eux ?

    Sarkozy est certes irritant, mais nul ici ne doutera que chacun y compris vous-même l’avait remarqué. La médecine a des réponses à ces problèmes : laissez les médecins travailler en paix.

  2. @ Bratchy : Finalement l’économie ne serait ce pas que de la politique. Car sous couvert de théories et de modèle mathématiques très sophistiqués, les vrais décisions ne sont que politiques. Les grands débats actuels sont essentiellement guidés par des considérations idéologiques où les lobbyistes des grands groupes sont redoutables.
    Finalement la question centrale est : à qui profite le crime?

  3. C’est indubitable. Surtout ne pas prendre mon commentaire comme une irrévérence vis-à-vis de celui qui avait 10 ans d’avance sur Keynes, et l’avouait modestement, simplement comme une bien innocente taquinerie.

  4. Certes innocente, mais je pense que l’on va redécouvrir ou découvrir certains économistes ou hommes politiques qui passaient pour de doux utopistes.

  5. Revoir à ce sujet l’article de Guy Carcassonne cité par authueil : authueil.org/?2008/07/22/… : faire de la politique, aujourd’hui, c’est ne plus avoir la possibilité de rattrapper les erreurs économiques qu’on pouvait se permettre de reporter hier à l’horizon infini de la dette publique.

    Ce qui est plutôt une bonne nouvelle, mais pas pour la France.

    Donc, désolé, franck : si l’économie n’est que de la politique, ce n’est certainement pas à un niveau inférieur à celui d’un marché qu’elle fonctionne.

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