NBC – saison 1 – épisode 12

 

 Encore un épisode de ce feuilleton français que nous aurons du mal à exporter.

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5 Commentaires

  1. Je trouve ca très difficile, bien que je ne pratique pas l’art du blog, de gérer les commentaires déplacés ou aggressifs…

    Il me semble que l’on touche là une des limites du web 2.0, soit disant participatif. La gestion de la foule et de ces commentaires pas toujours pertinents (celui-ci l’est-il vraiment?) doit être très difficile… Alors certes, le bloggeur peut réagir en temps réel mais s’il ne veut pas pratiquer la censure, il doit sortir des stratégèmes et des arguments toujours plus délicats mais je pense que cela doit être très fatiguant à la longue de devoir gérer les petites susceptibilités des uns et des autres…

    Difficile d’être le poil à gratter de la bien pensance franchouillarde… on l’a constaté avec certains de vos posts : vous critiquez une remarque d’une femme politique et l’on vous tombe dessus pour mysoginie…
    Il est donc plus facile d’être commentateur professionnel que bloggeur professionnel…

    C’est comme être sélectionneur de l’équipe de France de foot : quoique l’on fasse, on trouvera 60 millions de points de vue différents… (en même temps faut bien avouer qu’on se demande pourquoi Domenech sélectionne Givet, franchement !)

    Réponse de Stéphane Ménia
    Oui, c’est pénible. Mais rien ne t’oblige à le prendre trop à coeur. Tu fais selon l’humeur et ça glisse. Ce qui me fait rire, c’est que pas mal de blogueurs (la plupart ?) qui ne censurent pas ou n’envoient pas chier les commentateurs qui les ennuient n’en pensent pas moins. C’est très drôle. Et franchement, tu n’es pas obligé de verser dans le 2.0. Si tu regardes bien, nous n’y sommes pas beaucoup. Et ça ne change rien à l’affaire.

  2. ok, mais c’est cette hypocrisie de croire que Internet résoudra les problèmes de la déliquescence de la démocratie occidentale qui me fout les boules… alors le web 2.0, même si personne ne le pratique réellement, je n’y crois guère…

    Réponse de Stéphane Ménia
    Je n’y crois pas non plus. En revanche, même si ce n’est pas la première fois, j’ai pu tester l’efficacité de la collaboration en ligne pour d’autres trucs, quand j’ai refondu le site. Une fois de plus très convaincant.

  3. oui ca part contre j’ai bien vu que ca avait fonctionné et au final tu obtiens un site beaucoup mieux que si tu l’avais fait seul (enfin je pense) …

  4. Vos initiatives, chers blogueurs, sont louables (lorsqu’elles sont honnêtes et dénuées d’arrière- pensée bien sûr, ce qui est le cas pour vous et pour beaucoup d’autres) mais la liberté de commenter ne peut, de fait, qu’atteindre certaines limites (et, sans être pessimiste, je crains que le pire soit à venir). Quoiqu’il en soit, merci des efforts que vous consentez pour expliciter une actualité souvent tronquée par les sites "officiels" d’information (et Médiapart appartiendra à ceux-ci).

  5. Le Web 2.0 a deux facettes :
    – positive :
    * permettre d’échanger sur des sujets, parfois pointus à des personnes d’horizons différents,
    * avoir une démarche critique (sens scientifique),
    * expliquer, vulgariser au sens noble, comme ici, ce qui permet à certains comme moi de comprendre sans bagage conséquent ou de trouver des points d’entrée pour creuser,

    – la négative :
    * le simple café du commerce, exutoire de certains, plaisanterie d’autres,
    * la haine gratuite, permise par le média
    * la violence contre les idées adverses.

    Bref rien de nouveau sous le soleil.

    Regardez par exemple les journaux et les commentaires en lignes des articles, on dirait le courrier des lecteurs du figaro il y a 20 ans, avec le talent d’écriture en moins des intervenants

    Ceci était un exemple d’intervention "jesaistouttiste" d’un lecteur de blog

Commentaires fermés.