Juste en passant

J’aime bien ce genre d’articles sur la forme. Fluidité et simplicité. Efficacité.

2 Commentaires

  1. Dans l’article cité :

    "Pour éviter ce scénario du pire, il nous reste peu de solutions. Quatre principes doivent être suivis. Le premier est qu’il ne faut aucun défaut sur des titres souverains."

    Pourquoi pas. Mais ailleurs on peut lire le contraire, avec des argumentaires expliquant que c’est (1) inévitable; (2) peut-être utile (ça clarifie la situation et les investisseurs pourront connaître le montant exact de leurs pertes, puis passer à autre chose : par exemple verel.typepad.fr/verel/20… (3) moral (c’est une forme d’impôt sur les personnesqui ont investi dans de la dette publique, à priori les plus riches; et ils seront taxés à hauteur de leur investissement, donc peu ou prou de leur richesse; par exemple, je crois, ici: http://www.les-crises.fr ou dans le bouquin associé).

    Comme je ne suis pas économiste, les deux conclusions (opposées) me semblent cohérentes. D’où ma question : est-ce qu’un des deux raisonnements est entaché d’une erreur fondamentale ? Ou est-ce juste différence d’opinion, de modèles, etc. ?

  2. Et pendant que j’y suis, est-ce que le raisonnement de http://www.atlantico.fr/decrypta... vous semble cohérent ?

    Bon, désolé de mes questions de béotien. Ca veut sans doute dire que l’article de synthèse que vous nous promettez sur la crise de la dette serait fort bien reçu 🙂

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