Fermer les frontières, ouvrir les journaux

Pierre Yves Geoffard : “Pourrait-on croire que la fermeture des frontières viendrait pallier cette défaillance des politiques dans la protection des travailleurs les moins qualifiés ? Ce serait se tromper gravement : en ne régularisant pas l’ensemble des clandestins établis en France, le gouvernement pérennise l’existence d’une «armée de réserve» de travailleurs dont la précarité contribue à maintenir les salaires au plus bas. Bien loin de réduire les injustices, cette politique concourt à les creuser.” Le reste de l’article publié dans Libé.

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