Vite en passant

Nos phobies économiques dispo en format Epub, apparemment (oui, je suis tombé dessus par hasard, pas communiqué avec l’éditeur sur ce point). Existait déjà en format kindle. Prudence néanmoins… L’an dernier, j’ai acheté un bouquin en ligne en PDF (peut-être sur ce site, je sais plus) et il n’existait pas, en fait. Remboursé très vite, mais bon…

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2 Commentaires

  1. Bonjour
    C’est immatériel
    Jamais eu de problème avec eux.
    Par contre permettez moi de vous dire que votre éditeur n’est pas vraiment sympathique avec les lecteurs numériques :

    des DRMs qui font que ce l’achat n’en est pas un (en effet il faut ensuite demander la permission de lire le livre. Permission qui peut être refusée ! exemple pour lire sur Kindle, autre exemple lire dans plusieurs années)

    en contrepartie de cet achat qui est plus un droit de lecture
    en contrepartie d’une gestion de stock nulle
    le prix n’est pas baissé significativemt par rapport au papier !

  2. @ Chti_Suisse

    Ça s’appelle le prix de la douleur ! (En version longue : le prix de la douleur de se séparer d’une telle somme d’argent pour pouvoir obtenir le bien ou service en question.)

    Je ne doute pas qu’un économiste comme Stéphane puisse vous le confirmer : le prix de vente d’un bien ou service n’a pas grand chose à voir avec le coût de production. Ce n’est que sur le long terme que les deux tendent à se rapprocher, et seulement à condition de structurer le système de fixation des prix de sorte d’éviter les rentes de situation (la concurrence libre et non faussée fait partie de ces mécanismes possibles, et l’expérience montre qu’elle marche assez bien dans de nombreux secteurs économiques, même si elle ne marche pas dans tous.)

    Maintenant, si je peux me permettre une prévision : même si ça peut prendre quelques années, les éditeurs vont finir par comprendre (et par faire) ce que les vendeurs de musique en ligne ont compris (et fait) il y a quelques années : au début, ils voulaient tous des DRM pour se protéger des copies pirates. Un jour, l’un d’entre eux a abandonné les DRM, et il a alors vu ses ventes exploser. Du coup, les autres l’ont rapidement suivi, et ils ont vu eux aussi leurs ventes exploser. Ce faisant, cela a permis qu’une véritable concurrence s’établisse entre eux (parce que le marché du téléchargement payant était devenu suffisamment gros), ce qui a fait baisser les prix des morceaux jusqu’à un seuil considéré comme acceptable pour une bonne partie de la population (et non plus une toute petite minorité). Et aujourd’hui, plus aucune plate-forme de téléchargement légal de musique ne propose des morceaux avec des DRM.

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