Suicides chez Renault : l’hypothèse Delaigue

Alexandre relevait fort justement que les démarches judiciaires dans cette affaire avaient peu de chances d’être convaincantes, mais que Renault ne pouvait probablement pas se permettre de laisser assimiler le technocentre à un lieu idéal de suicide. Chez Renault, la question de la santé au travail serait donc peut-être abordée pour de mauvaises raisons, mais personne ne s’en plaindrait. Il est trop tôt pour dire où cela mènera, mais les premières réactions de la direction vont dans ce sens.

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