Recentrage

A l’instar de nombreux commentateurs, je ne trouve pas le début de la campagne présidentielle très intéressant. J’ai donc décidé de m’abstenir de chercher à écrire dessus.

Rien de neuf, au fond. Durant les précédentes campagnes, Alexandre comme moi ne sommes pas trop montés au créneau. Nous sommes toujours un peu ennuyés pour continuer à suivre proprement notre ligne éditoriale au milieu d’un climat partisan (les condamnations pour comportement idéologique sont déjà assez nombreuses en temps normal). Je me suis récemment laissé aller à quelques fourbes commentaires à l’égard d’Authueil qui vit la campagne en militant. Las… J’étais à côté de la plaque. J’ai bien plus utile à faire sur la toile que de donner des leçons de méthodologie de campagne à l’usage des blogueurs. Il y a des tas de notes de lecture à écrire ; des questions-réponses en souffrance ; des informations à communiquer ; une bibliographie qui ne marche plus ; des questions à poser sur d’autres sujets qu’une campagne qui n’en amène pas dans notre giron. C’est à ce genre de tâches que je consacrerai du temps. Je publierai un dernier article sur l’enseignement secondaire pour achever ce qui est en cours. Puis place à de plus consensuelles occupations.