Alors que s’ouvre le procès des gros pollueurs de l’Erika, les petits pollueurs médiatiques continuent…
« (…) Dès le lever du jour, je me suis attelée au déblaiement du pont. Un fouilli inextricable de haubans, cordages, voiles couchées. Un désastre. J’ai d’abord attaqué les haubans à la scie à métaux pour libérer le mât couché sur la poupe. Dix heures à m’acharner (…) ».
A-t-elle fait son tri sélectif au moins ?