Long entretien avec Philippe Petit. Giraud est l’auteur du livre Le commerce des promesses, que vous devriez tous avoir lu (surtout qu’il est disponible dans une édition de poche actualisée en 2009). En attendant, cet échange est très intéressant et limpide. En deux parties : partie 1 ; partie 2.
Commentaires fermés.
Entretien très intéressant, sinon réjouissant! Claude Allègre, interrogé hier soir, suggérait la création d’un Euro-bis, dévalué de 50%, pour les pays en difficulté, comme la Grèce en premier lieu.
On a beau être démocrate, la situation dépasse l’entendement du "yaka" ordinaire. Je m’en remets aux pilotes qui sont aux commandes.
Merci pour l’info.
L’interview est très intéressante, merci. J’ai apprécié son insistance sur l’incertitude qui handicape la reprise – un facteur important aussi dans les années 30. Mais il insiste trop sur le mimétisme endogène dans le déclenchement de la crise, et pas assez sur le rôle des banques centrales et de l’aléa moral qui ont encouragé les comportements de fuite en avant (privés comme publics). Et cette phrase me laisse totalement perplexe : "Le principal défi économique de l’Europe est en effet ses très grandes inégalités internes. Elles sont la cause profonde de la crise actuelle de la dette souveraine et privée."
Finalement, il ne prône pas la liquidation du mistigri à la Andrew Mellon, mais sa socialisation. Cela crée de mauvaises incitations pour la suite, propres à déclencher une crise plus grave à l’avenir. Que propose-t-il pour l’éviter ?
Réponse de Stéphane Ménia
Chais pas. Les monnaies privées ? Mouah ah ah ! Désolé…
J’attendrais que les banques soient au bord du gouffre. A force d’accepter des joueurs de boules dans un club de golf on fini par ne plus savoir si il faut pointer ou tirer.
J’aime bien Giraud, dommage qu’il n’ecrive pas plus. J’aimerais seulement qu’il attende 40 ou 50 ans avnat d’euthanasier les rentiers. Je prefere une mort naturelle.