Jeune, pour aller picoler partout dans le monde, ne pars pas sans cette carte.
Aux Etats-Unis, tout est plus grand et tout va plus vite. Voir aussi ce billet et celui-ci.
I saw the light ! Oui, mais ils ont coupé le courant juste après. Un peu plus ici sur l’équivalence ricardienne. Et, sans vouloir être mauvais (enfin, si, un peu, mais bon…), lire ça et ça pour situer.
Des banquiers sous surveillance. La bonne nouvelle de la crise bancaire, c’est que des tas de recherches sur les banques vont être conduites dans les années à venir.
Boire de la piquette pour sauver les enfants d’Afrique ? Et puis quoi encore ?
Donner 50 000 € en mensualités pour un job de 10 ans ? Ouai… Bof… Rien de spectaculiaire. Cela s’appelle proposer d’accepter une baisse de salaire.
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1. Si les économistes sont mal considérés, et si l’économie n’est qu’une branche de la politique (elle n’a pas dit du courtage immobilier, donc il y a un peu de marge) n’est ce pas leur faute?
Entre les cathodo-économistes de type Artus, Bouzou, Touati, Maris etc.,les "journalistes" économique qui sont essentiellement des chroniqueurs hippiques qui n’ont pas réussis et les véritables économistes de qualité qui trouvent (comme les vulgaires banquiers d’ailleurs) que leur métier de base est bien ennuyeux et qu’il est plus marrant d’écrire des articles a la limite de la mauvaise foi dans la presse populaire il est difficile de donner crédit a l’idée de l’économiste savant cosinus intègre et sérieux et qui a quelque chose de pertinent a dire sur la gestion des affaires publiques (d’ailleurs les savants cosinus ne s’habillent pas SM).
2. Le problème de la dette n’est il pas comme l’inflation un problème de répartition? De transfert des pauvres vers les riches limité par le défaut de paiement, un peu comme on disait que la monarchie Française était l’arbitraire limité par l’émeute ?
3. Le principal problème des banques qui me soucie en ce moment ce n’est pas leur règlementation et de savoir si on va les fonctionnariser/nationaliser, glass-steagaliser, débonussiser, c’est de savoir qui va payer les pots cassés du passé : les créditeurs (oui, oui) ou les contribuables (non, non). Les actionnaires sont toast already comme disent les boutiquiers d’outre-manche. Et c’est bien fait.
Merci d’avoir signalé l’article de William Easterly (ce que je voulais faire, en passant par le forum), dont le contenu est proche de choses qu’il a pu déjà dire dans ses livres à succès de 2001 et 2006.