Article dans les Echos

Une note de lecture de notre ouvrage est paru dans les échos. Elle est très positive à notre égard, cela va sans dire. Gérard Moatti a fort justement relevé au sujet du livre que son titre est “emprunté à un ouvrage de l’économiste britannique Diane Coyle (voir plus haut), auquel, curieusement, les auteurs ne font pas allusion”. Ce qui mérite une explication. Nous avons découvert l’existence du livre courant août. Si nous l’avions su avant la mise sous presse, nous aurions tout simplement changé le titre (nous avons informé notre éditrice, qui nous a assuré que cela ne posait pas de problème juridique, ce qui était l’urgence du moment). Par contre, depuis, nous aurions pu le citer pour l’anecdote, en effet. Voici qui est fait.
Autre point, “L’économie sans tabou, version française” est un titre un peu embêtant pour nous, puisque le livre de Bernard Salanié, L’économie sans tabou, est bel et bien en français 🙂 . Ce qui nous permet de renvoyer les retardataires à ce bouquin dont la lecture est toujours d’actualité et de nous excuser auprès de Diane Coyle et Bernard Salanié pour l’ambiguïté potentielle de la situation. Sur le titre, nous avons expliqué sa genèse sur le forum[1].

Notes

[1] Concernant le sous-titre, l’éditeur nous l’a proposé et nous avons accepté.

4 Commentaires

  1. J’ai acheté votre livre il y a une semaine et je l’apprécie beaucoup (j’en suis au milieu seulement, il faut dire que j’en lis deux autres en même temps). Votre ton un peu humoristique aide beaucoup à faire passer ces opinions d’économistes qui font décidément un bien étrange métier.

    Une seule remarque, mais vous devez déjà le savoir, sur ce "t" manquant sur votre 4è de couverture…

  2. Comment !
    Vous n’abordez, ni la vente d’organes, ni l’avortement et les mères porteuses, ni le proxénétisme, ni la corruption ?
    Quel conservatisme, c’est fort décevant. 🙂

  3. Je suis l’economiste qui a ecrit ‘Sex, Drugs and Economics’ en anglais. Naturellement, je pense que c’est un tres bon titre! J’espere que vos lecteurs voudraient essayer lire mon nouvel livre en anglais, ‘The Soulful Science’, aussi sujet d’une note a les echos.

    Réponse de Stéphane Ménia
    Thanks for your friendly comment. We once again apologize for this ambiguity. Concerning your new book, I ‘ve just visited your website. I’m greatly interested and I’m going to become one of your reader. It would seem that we’ve got some common interests !

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