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Si ça marche chez Versac (après avoir marché ailleurs), ça marchera ici…

* Mais comme tu nous lis encore trop, tu te réjouis de voir baisser le prix des manteaux en chat. Ordure.

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5 Commentaires

  1. Je ne suis pas certain que le marché du chaton soit demand-driven. Comme tout ce que produit la God Heavy Industries Corporation, d’ailleurs.

  2. Salauds d’économistes ! Tous des rats, des reptiles gluants qui veulent détruire le monde ! Des crapules ultra-libérales vendues au grand Capital et au lobby des végétariens amis des chats !

  3. Alors là je pige plus rien: si Dieu tue des tas de chatons à chaque fois que l’on accuse les économistes de ne pas voir plus loin que leurs équations, il y aura donc moins de chatons. Donc rareté du chaton. Donc matière première rare aussi pour le manteau en chaton. Donc prix qui augmente du manteau en chaton. Ou alors j’ai raté un truc et c’est comme d’habitude: l’Etat intervient de toutes façons avant le génocide de chatons tout comme après, et selon des modalités erratiques, et donc le prix du chaton suit une courbe à peu près aléatoire? Courbe aléatoire qu’il aurait d’ailleurs de toutes façons suivie sans l’intervention de l’Etat parce qu’une équation, on a beau utiliser des Cray dernière version, ça ne supporte pas la vraie vie?

    Florent Latrive

    Ah ouai, mais non. Je voyais pas ça comme ça. Je me disais plutôt que le stock de chatons est suffisant et que s’ils se mettent à mourir comme des mouches, alors la peau de chaton à vendre sera abondante. Bon, bien sûr, si une soudaine folie pour le manteau en chaton se développe chez le consommateur, on peut avoir une hausse des prix. Bref, tout ça c’est ceteris paribus.

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