Mise à jour – 01/03/2007

Encore une note de lecture. C’est Le grand méchant marché, de Landier et Thesmar qui en fait l’objet. Cette chronique sera prolongée sur le blog d’ici quelques jours par un cyberdébat de cybercafé du commerce entre Alexandre et SM.

1 Commentaire

  1. Si je comprends votre note de lecture, l’infime minorité de ceux qui connaissent le sujet n’y apprendront rien de plus et les autres, ceux qui pensent que Viviane Forrester est une économiste distinguée, y verront un brulot ultra-libéral écrit par des ennemis du peuple.

    Le titre est donc choisi pour désinformer ceux ci, afin qu’ils achètent le bouquin en masse, avant de découvrir qu’ils se sont trompés.

    Je vais donc attendre, car le marché de l’occasion va être florissant.

    Ma chronique doit être particulièrement mal écrite pour que vous ayiez compris cela. Car ce n’est pas aussi caricatural. Pour ceux qui connaissent la finance, il y a une mise ne perspective d’économie politique qui ne se trouve pas dans les manuels sur les options. Pour ceux qui détestent la finance, c’est l’occasion de réfléchir à certaines idioties qu’on leur a dit sur le sujet. J’ai simplement dit que le livre ne suffirait probablement pas à les convaincre en masse. Mais je suis certain qu’il fera réfléchir ceux qui le voudront bien. Ils demanderont certainement des compléments. C’est déjà bien.

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