Les bonus sont chez vous

Chers gentils gens qui ont précommandé le livre,
Si vous allez relever votre courrier, vous trouverez deux jolis fichiers pdf dans votre boîte aux lettres électronique. Eh oui, les bonus sont là, ils étaient réels…
Si toutefois ce n’était pas le cas, tenez-nous au courant. Si vous les avez reçus deux fois, merci d’en renvoyer un exemplaire.

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4 Commentaires

  1. Bonus reçu!

    Pour ceux qui hésitent à précommander, vous pouvez y aller, pas d’arnaque! Vous aurez bien droit à deux jolis fichiers bonus.

    D’ailleurs, je viens de lire celui sur le problème des ……… (no spoiler), et il est vachement sympa et facile à lire.

    Merci aux boutiquiers.

    Réponse de Stéphane Ménia
    Pétard, on a un business model de folie : les lecteurs qui précommandent font en plus la pub pour les précommandes. Si c’est pas du bonheur 🙂

  2. De la lecture pour le WE, merci!
    🙂

    Réponse de Stéphane Ménia
    Z’avez vu comme on est malins ? 😉

  3. Ca à l’air pas mal en effet, avec une petit lien avec Freakonomics (allez un peu sur les bords, non?).
    Je le met aussi en rapport avec ce que dit Guerrien dans "l’illusion économique", si je me rappelle bien : l’économie a tellement du mal à obtenir des connaissances qu’elle s’égare dans pleins d’autres domaines. Enfin l’éternel débat sur les limites de cette "science" fait plaisir à lire.

    Réponse de Stéphane Ménia
    Pour Freakonomics, j’ai déjà répondu ailleurs. Sur l’opinion de Guerrien, nous ne sommes évidemment pas d’accord. Parler d’égarement est inexact. S’il y a un objet de l’économie, on voit mal pourquoi ceux qui font de l’économie s’égareraient en faisant de l’économie. C’est aussi simple que cela. Le problème de Guerrien, c’est qu’à force de rester sur un domaine de spécialisation ultra limité (et qu’il maîtrise bien, surtout et paradoxalement, techniquement), il en a oublié de voir que la science économique avançait sans lui. Quant à l’éternel débat, à un moment donné, ça m’intéressait. Maintenant, quand on lit en français, on voit qu’on n’a plus grand chose à y apprendre. Ceux qui ont des choses à dire un peu mises à jour n’en parlent guère. Restent ceux qui ont quinze ans de retard, ceux qui sont incompétents ou ceux qui font de la politique en se parant d’économie. Ca ne veut pas dire que l’épistémologie et la méthodologie économique n’ont pas d’intérêt. Mais c’est loin d’être la chose la plus instructive dans les publications actuelles, en français (et public large) surtout.

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