Le mec qui voulait renverser le capitalisme est de retour

Dans un épisode oublié, il dit que les étrangers sont nos amis. Et dans un autre, que les banquiers sont des types dangereux.

Sur les immigrés
Sur les banques.

6 Commentaires

  1. Le non impact de l’immigration sur le chomage, ok, mais qu’en est-il de la pression sur les salaires?

    Réponse de Stéphane Ménia
    Vous pouvez acheter le bouquin ou, moins cher, retrouver les billets du blog qui en parlent…

  2. Paul Krugman me semble être très largement en désaccord avec Alexandre Delaigue sur la question de l’impact économique de l’immigration.

    Voir par exemple ce billet:

    krugman.blogs.nytimes.com…

    Mais il y a quand même probablement un accord pour admettre que l’impact de l’immigration sur le taux de chômage est assez faible.

  3. Existe-t-il des travaux pour évaluer la perte d’utilité qui provient du fait de partager sa vie avec des gens avec lesquels on ne souhaite pas cohabiter?
    En gros, le coût en "utilon" de la xénophobie pour les xénophobes.

  4. Les commentaires sont terribles , je cite :

    > Démétrius : Comme trop souvent cet économiste compare des événements incomparables car de nombreux facteurs significatifs sont ignorés. Comment comparer des russes immigrant en Israël ou pire, des pieds noirs "français rapatriés" avec l’exode politique et économique des peuples d’une Afrique ruinée par des régimes totalitaires,corrompus et héréditaires …

    > Dantec : Ne comparons pas l’ arrivée des pieds noirs en France qui ont été une " force vive " ( entreprenariat …) pour l’ économie française ( et donc aussi , une perte pour l’ Algérie ) avec l’ immigration actuelle très peu de " travail " mais plutôt d’ assistanat ruineux .

    etc …

  5. Petit point de détail, l’immigration actuelle n’est pas une immigration de travail (11% de 200 000 migrants réguliers ) mais une immigration de peuplement (80% de regroupement familiaux), donc forcément l’impact sur le marché du travail est limité.

    En revanche comme le souligne mahon, toute augmentation subite de travailleurs sur le marché du travail, se traduit par une pression à la baisse des salaires, heureusement limitée par l’existence du salaire plancher (smic).

Commentaires fermés.