Le nouveau livre du mois est chroniqué. Le dernier opus d’Eric Maurin, sur l’école.
- Dysfonctionnements - 21 décembre 2024
- Sur le passeport vaccinal - 18 mai 2021
- Laissez le temps de travail en paix - 19 mai 2020
- Élinor Ostrom, le Covid-19 et le déconfinement - 16 mai 2020
- Ne tuons pas l’enseignement à distance. Optimisons-le - 15 mai 2020
- Quelques commentaires sur les évaluations à l’arrache des systèmes de santé en pleine épidémie - 9 mai 2020
- Du bon usage du supposé dilemme santé vs économie - 9 mai 2020
- Le problème avec la courbe. Édition Covid-19 - 4 mai 2020
- Reprise d’activité - 21 avril 2020
- Problème corrigé sur les notes de lecture - 6 février 2020
Merci pour cette note de lecture passionante. Puis-je me permettre de relever ce qui me semble être une contradiction fondamentale. Vous écrivez :
"… obliger tous les bacheliers, littéraires ou non, à étudier les mêmes oeuvres, pour ensuite poser les mêmes questions aux examens nationaux, mais avec des consignes de correction différentes selon les filières, ne correspond pas à grand-chose"
Est-ce qu’il faut comprendre "oui au collège unique" mais "non au lycée unique" ? au nom de quoi ? de la définition de quel socle commun ?
Bref, supprimons la littérature classique pour les sections scientifiques et mesurons dans 20 ou 30 ans les effets d’une telle mesure !
L’idée, c’est qu’un enseignement démocratisé implique une adaptation du contenu de la formation. En littérature, par exemple, un choix d’oeuvres plus accessibles, et des exercices moins universitaires que lorsque cet enseignement n’est dispensé qu’à une très faible fraction de la population. Or cette adaptation ne s’est pas toujours faite de façon très satisfaisante, avec des programmes restant dans la logique précédente, mais qu’il faut appliquer “de force” à une population différente.
Merci de cette chronique. Une petite faute d’orthographe (mais c’est dans le thème…
<blockquote>
et <b>poussé</b> des centaines de milliers de jeunes dans des études qui ne sont que des voies sans issue
</blockquote>
Oui, il y en a d’autres d’ailleurs. Désolé, elles sont plus difficiles à détecter sur un document très long.
Intéressante chronique, et sur un livre tellement peu dans l’air du temps…
Les médias préfèrent les moustachus fabriquant de crétineries réactionnaires.
Plus facile.
Une remarque sur la forme : le lien m’envoie sur une page où la chronique
apparaît en très gros caractères bleus assez difficiles à lire.