3 Commentaires

  1. Pour les festivités, je continue à suggérer une rencontre en chair et en os dans le vrai monde pour les contributeurs fidèles qui le pourront.
    Bien sûr ca fait vieux jeu dans le cyber-monde, mais je crois aux contacts humains.

    Réponse de Stéphane Ménia
    Oui, mais bon, pour ma part, j’ai un agenda chargé. Néanmoins, je n’exige pas ma présence 🙂

  2. Bien sûr, il faudrait laisser courir. Mais non, vraiment, votre arrogance me souffle. Un « hors-sujet méritant ». Mais que savez-vous au juste du « sujet » pour nous faire la leçon sur le ton du professeur d’école ? Pour le dire plus directement : pour qui vous prenez-vous exactement ? Pour le défenseur auto-proclamé de l’Economie outragée, pour le gardien (des marchands) du Temple ? Etes-vous bien certain d’avoir les épaules ? Ou alors vous campez le-blogger-qui-s’la-raconte-pas-mais-qui-sait-deux-trois-trucs-sur-l’économie-et-qu’a-le-droit-d’dire-c’qu’y-pense? Pourquoi pas, mais alors il s’agit d’impressions et de doutes de lecteur et il faut laisser tomber la posture de l’imposteur. Le monde est déjà plein de Steven Levitt du pauvre qui croient bon de faire la morale économique à leurs concitoyens du haut de leur amateurisme et de leurs préjugés. Le livre ne vous satisfait pas ? Moi non plus. C’est le principe de la recherche : vous écrivez pour assouvir une frustration intellectuelle et vous vous retrouvez avec une frustration encore plus grande. Et vous recommencez. Cela commence comme cela finit : par la mesure de son ignorance. Essayez : vous verrez, c’est beaucoup plus stimulant plus que de jouer au professeur d’économie à l’estomac.

    Réponse de Stéphane Ménia
    Incidemment, je m’attendais à une telle sortie. Vous n’avez rien compris à ma chronique et vous arrêtez sur quelques mots qui, aussi méprisants qu’ils puissent vous sembler, n’ont pas cette connotation pour moi (c’est le seul passage de ma chronique que je vous concède comme maladroit). Mais passons. Si votre frustration est à la hauteur de celle que j’ai éprouvé en fermant le livre, alors vous comprendrez que je n’ai pas eu envie de faire semblant de présenter votre bouquin comme celui de l’année ou même celui du mois, en dépit des qualités que je lui reconnais dans ma chronique. Et ça ne vient pas de l’estomac. Maintenant, si j’avais la même réaction que vous, j’aurais vraiment salement démoli votre travail – ce que je n’ai pas fait – et cela aurait été injuste et crétin. Là, je me contente de dire que j’attendais autre chose compte tenu des ambitions affichées. Une chose est sûre : je suis un blogueur-qui-s’la-raconte-etc. A ce titre, je semble mieux maîtriser l’art de la communication sur Internet. Prenez-en de la graine.

  3. Attention avant de s’emballer, le commentaire n’a sans doute pas été posté par l’auteur mais par un petit blagueur. C’est le risque de ce mode de communication faussement transparent.

    Réponse de Stéphane Ménia
    En l’occurrence, non, ce serait très très étonnant, vous pouvez me croire.

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