Ou plutôt, sur les taxis (et les réformes en général). Rien de neuf, mais quand c’est dit différemment, on comprend mieux, des fois. Et puis, c’est toujours agréable à lire une chronique de Cohen. Il y a toujours un petit décroché sur l’angle de tir qui conduit à penser qu’on n’a pas perdu son temps.