C’est la rentrée

Ce qui m’inspire le graphique suivant. Une simple hypothèse de travail, issue bien évidemment d’un parallèle avec les classiques courbes de productivité au travail, adaptées au cas spécifique des effets de l’alcool. C’est une courbe pour un individu représentatif. Il est évident qu’un mormon et un légionnaire n’ont pas la même… J’ai laissé l’échelle en abcisse volontairement libre.

Note : “faire un cours” est entendu ici au sens de “préparer un cours”.

5 Commentaires

  1. Je pense qu’il faudrait faire passer la courbe dans le négatif sur la fin : si tu vomis sur un cours déjà préparé, il faut le refaire, c’est de la destruction de cours.

    Réponse de Stéphane Ménia
    Ok, mais si je vomis sur mon écran, j’ai pas à refaire le cours. Sauf si court-jus et disque dur cramé.

  2. Même sans vomir, je suis sûr qu’un individu bourré a plus de chance d’oublier de sauvegarder/d’éteindre sauvagement l’ordinateur qu’un individu pas bourré.

  3. Vu le plat qui suit l’extremum de la courbe, ça vaut pas le coup de se priver pour optimiser notre capacité à faire un cours.
    Le point à viser est plutôt le point anguleux de la courbe: c’est la que le ratio (qualité du cours)/(frustration due au manque d’alcool) est maximale. Nasdrovia!

  4. De quelle courbe vous parlez ?? Moi z’en vois trois, faut se mettre d’accord…

    Réponse de Stéphane Ménia
    Mon conseil : attend un peu avant de refaire un cours. Après, on en recause…

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