Notes pour plus tard

Faire la chronique du livre d’Evariste lefeuvre, Marchés financiers, la logique du hasard, dont le message œcuménique liant analyse macroéconomique et financière est toujours d’actualité.

Actualiser notre synthèse sur la dette publique et les déficits en replaçant nos écrits antérieurs dans leur contexte intellectuel, sociologique et politique. D’où il en sortira que rien de ce que nous avions écrit n’est à jeter mais qu’il aurait fallu être plus précis sur certains points. Un mea culpa cependant : beaucoup de gens ont pris nos textes pour un genre de manuel exhaustif sur la dette publique alors qu’il n’en était pas un. Aujourd’hui, ils sont désagréablement surpris de le constater. Nous aurions dû nous en rendre compte avant, c’est une erreur de notre part. Que nous allons essayer de corriger.

Puisque nous y sommes, nous gardons dans un coin de notre tête que dans un chapitre du livre Images économiques du monde 2008, nous avions montré le crédit sous un angle optimiste. Et comme, décidément, on n’a pas trop de bol avec l’actualité… il faudra que l’on revienne là dessus pour voir ce qui est à oublier ou à actualiser.

Remettre à plat les rubriques bibliographie et lexique qui ont très très mal vieilli.

Écrire une question-réponse sur la macroéconomie en union monétaire.

Se préparer à faire un bilan économique de la présidence Sarkozy et à décrypter les programmes des candidats pour 2012.

Bon, et dans l’immédiat, un petit topo sur les deux nouveaux Nobel.

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4 Commentaires

  1. "beaucoup de gens ont pris nos textes pour un genre de manuel exhaustif sur la dette publique"

    Non, plutôt pour un plaidoyer sans réserve en faveur de la dette publique (mais vous n’étiez pas les seuls – ce sont les ravages du keynésianisme)

    Content de savoir "qu’il n’en était pas un".

    Réponse de Stéphane Ménia
    Merci d’être toujours là pour porter la seule et unique parole valable chez les économistes. Laquelle ? Celle qui n’est pas keynésienne. Amusant de vous voir tenir les mêmes discours que ceux qui nous taxent de néolibéralisme.

  2. faut bien que quelqu’un se dévoue pour dénoncer l’unique parole valable chez les économistes (surtout ceux qui conseillent les gouvernements avec les résultats qu’on sait) : la keynésienne…

    Et je n’imaginais pas que ceux qui vous taxent de "néolibéralisme" critiquent la dette publique.

    Réponse de Stéphane Ménia
    Non, mais ce que j’essaie de vous dire, c’est juste que leurs commentaires et les vôtres nous font le même effet.

  3. Comme ça, en passant : quand je vais voir les autres sites, et que je reviens au vôtre, je trouve qu’il est clair et qu’il a de l’allure. Pourquoi pas vous le dire…?

    Réponse de Stéphane Ménia
    Eh bien, merci 🙂

Commentaires fermés.