Un Prix Nobel pour Alexandre

Celui “remis par la banque de France à l’étranger, en l’honneur du mec qui se lève tôt pour aller au JT de TV5 Monde”. Un entretien à 6h du mat, en direct, ça mérite bien ça. Y a des jours comme ça où je suis fier d’être son pote. 😉

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4 Commentaires

  1. Je n’ai pas vu AD sur ton lien.

    Réponse de Stéphane Ménia
    Ah ouai, faut écouter l’édition de 4hGMT.

  2. Le lien direct vers l’émission :
    http://www.tv5.org/TV5Site/webtv...

    6h00 du matin? C’est courageux, et ni le présentateur ni son invité n’ont l’air fatigué. Moi à une heure comme ça j’aurais l’air d’un zombie en quête de cerveau …

  3. -"Les riches "globaux" détiendraient environ 12 000 milliards de dollars dans des paradis fiscaux. C’est comme si pratiquement tout le produit intérieur brut (PIB) annuel des Etats-Unis s’y trouvait à l’abri.", plus une recherche permanente d’optimisation fiscale qui déforme la "libre concurence du marché": sans être une cause, ils sont un facteur probable de dérégulation. On ne peut pas simplement traiter cette question d’un simple revert de main,
    -La dette des Etats est un élément du débat bien entendu, mais ne pas oublier la dette privée qui s’accumule (1.1 trillon de $ en 2009 pour l’espagne parait-il, dette privée= 317% du PIB? ) dont il est aussi difficile d’en mesurer la qualité,
    -N’y-t-il pas une difficulté triviale lorsque les taux d’intérêts faibles(3 à4% suivant la durée) restent supérieurs au taux de croissance de ma richesse PIB ? (0.9% entre 2005/2009 pour la France,
    -l’évaluation des politiques publiques pour mesurer leur performance est essentielle: en attendant ce changement culturel necessaire, on peut observer que les taux de croissance annuel moyen de chaque pays européen a baissé depuis 1995: déficit ou pas l’espace européen a-t-il été efficace sur ce plan là? Ce ne sont pas les dettes publiques ou privées qui posent un problème de fond mais: la politique du taux de change de l’Euro depuis 1999, l’absence d’outils financiers coopératifs puissants pour mener de réelles politiques publiques européennes "efficaces" dont on aurait tant besoin actuellement (éducation, énergie etc)…..la convergence "naturelle" à partir d’indicateurs factices a échoué.

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