Loi des conséquences inattendues in everything

sauver les dauphins crée un désastre écologique majeur. (via Felix Salmon, le bien nommé dans ce cas).

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Alexandre Delaigue

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2 Commentaires

  1. Hum, il s’agit surtout d’une loi basique de l’écologie qui est que les conséquences réelles de n’importe action ne peuvent être connues qu’en en faisant un bilan complet.

    L’équivalent de "there’s no free lunch" en écologie, c’est qu’il n’y a pratiquement aucun changement dont il est réellement évident qu’on va y gagner d’un point de vue conservation de l’environnement, sans même avoir besoin de l’étudier en détail.

    En l’occurrence, j’ai bien l’impression que le problème n’était même pas subtil, qu’on voit donc ici le résultat de l’action des écolos du dimanche, pour lesquels ce que j’énonce plus haut est du chinois.

  2. La méthode 1 marche, elle est largement employé par les flottes européennes dans l’atlantique et l’océan indien. Elle permet de capturer des thon albacores de belle taille plus rémunérateur. Mais il faut des bateaux rapides (15 noeuds au moins, 22 pour les meilleurs) et des équipages formées à la chasse au thon.
    Sinon c’est vrai que la pêche au objets flottant est dangereuse pour les thons car elle vise de poisson plus petit, mais elle permet de capturer des listao très difficile à trouver en banc libre.
    D’autres espèces pélagiques sont aussi touchées: requin, dorade coryphène, carangue diverse.

    Au final d’autre méthode de pêche comme le chalut gardent toujours la palme du rejet de faux poisson en masse (parfois 2 à 3 fois plus que de poisson vendable).

    J’ai vu dans les com que soit disant les long liner faisait des ravages chez les requins, j’y crois pas trop, c’est assez facile de faire des appâts spécifique pour les thons ou les espadons. De plus les licences étant limité, le fining (couper les nageoires des requins pour les revendre) interdit, je ne pense pas qu’il y ai plus de bateau de ce genre.

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