Je promets de ne pas faire de galipettes avec mes collaboratrices

Maintenant que c’est fini, deux remarques sur DSK. D’abord, Jean Quatremer avait raison, mais s’il avait eu tort, personne ne le lui aurait dit. A chacun ses prévisions sur les crises à venir. Ensuite, DSK, en tant qu’économiste, devrait avoir honte. Il lui suffisait de se souvenir de Schelling et de s’empêcher d’agir comme quelqu’un de prévisiblement irrationnel. En arrivant à son poste, il aurait pu déclarer plus ou moins publiquement qu’en cas de “comportement douteux”, il démissionnerait. Certes, cela était impossible, ça aurait fait des histoires. Il pouvait cependant, faire cette promesse aux membres du CA du FMI, sous forme de courrier scellé, par exemple. Cela lui aurait évité des soucis, car il n’est pas impossible qu’il se soit souvenu de cela au moment de visiter la Hongrie. Mais finalement… cela aurait-il été vraiment utile ?

EDIT : ce billet se veut écrit au second degré, il est dans la rubrique blablabla. Ajustez vos commentaires en conséquence.
EDIT 2 : Commentaires fermés. Je voulais mettre l’accent sur Schelling, pas sur l’histoire de fesses. C’est visiblement trop compliqué. Je garde le commentaire de piou piou.

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1 Commentaire

  1. Je pense surtout qu’il fait ch*** beaucoup de microéconomistes qui font de l’arbitrage travail-loisir… Eh ouais ! on fait comment pour dessiner la droite de budget et les courbes d’indifférence maintenant ? Moi j’vous dis, on tient là une révolution dans la théorie microéconomique : on n’avait pas pris en compte le sexe au travail…

    Un petit whisky pour fêter ça…! quoi ? j’ai déjà fini la bouteille…? damned !

Commentaires fermés.