Code rouge, comme dit l’autre

L’autre, c’est notre estimé maître Eolas, qui signifie ainsi qu’il est très très occupé.
Pareil pour moi. Ce qui veut dire qu’il serait sage et avisé de ne plus rien publier ici pendant un moment.
Plus rien qui dépasse deux lignes, en tout cas (qui est le salaud qui a dit “comme d’habitude” ?).
Et j’en connais un autre qui ferait bien de faire pareil…
A plus tard, donc.

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3 Commentaires

  1. Code rouge…êtes-vous en vacances ?

    Réponse de Stéphane Ménia
    Quand Eolas donne un code rouge, c’est rarement pour dire qu’il se tourne les pouces ou squatte au bord d’une piscine !

  2. allez, même pas un p’tit billet ?
    moi qui ne connais rien à l’économie et comptais sur vous pour m’expliquer la flambée actuelle (et future ?) du prix des matières premières alimentaires. C’est vrai quoi, par un raisonnement bidon, j’aurais tendance à penser que si les riches sont prêts à payer très cher pour mettre du houblon dans leur réservoir, ce sont les pauvres qui trinquent.
    Alors qui va éclairer ma lanterne pour voir derrière les apparences ?

  3. Le terme de houblon désigne plus souvent une résine odorante destinée, si ma mémoire est bonne, à faciliter le cycle de reproduction de la plante en provoquant l’adhésion des pollens en circulation.

    Comme tout composé organique qui se respecte, correctement dispersé dans un milieu suffisamment fluide et oxydant, c’est un explosif dans une certaine plage de température et de pression, mais à ce jour et à ma connaissance du moins, les chercheurs qui font rien qu’à s’intéresser aux choses sans application pratique n’ont pas significativement progressé sur ce segment porteur d’avenir du moteur à houblon en particulier ou les bio-carburants en général.

    On ne devrait donc pas s’attendre à une hausse significative des cours mondiaux du houblon, hormis effet très marginal de substitution (emploi de terres cultivées en houblon à d’autres fins et chute de la production). Les surfaces plantées mondialement en houblon sont infimes d’une part, et la culture moderne du houblon exige un pré-équipement des sols (perches, cadres et galeries) coûteux, technique à mettre en oeuvre, et uniquement maîtrisé par quelques spécialistes par continent, qu’on hésite donc à ré-affecter, surtout en prenant en compte la très grande sensibilité au vent de la culture qui la limite aux surfaces planes, humides, et très abritées.

    Non parce que bon, l’économie, ok, c’est super important, mais la bière (et les trucs explosifs à fins récréatives) c’est sacré.

    Le Drudgeon General certifie qu’aucune espèce végétale n’aura été maltraitée durant la conception de ce message.

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