Some unpleasant free market arithmetics – Dialogue sur la rareté de l’essence et la loi travail
D’humeur taquine. Mais… à méditer. – Libéralisons, libéralisons, libéralisons. – Oui, mais quoi ? – Ben, le marché du travail, bien sûr. C’est là que ça se joue le chômage. – Admettons. Mais quand on veut le libéraliser, les travailleurs vont dans la rue. – Oui, mais bon, ça fait (Lire la suite…)