La sangria, c’est traître
Alexandre rappelait hier sur Twitter un de ses vieux billets de 2008 où il était question de la solidité supposée des banques espagnoles. Aujourd’hui, celle-ci est, disons pour rester sobre, plus très visible à l’oeil nu. Aujourd’hui, sans lien avec ce tweet, je relisais un passage du bouquin de Michel (Lire la suite…)