A court terme, nous sommes tous morts
A toi, ami qui t’émeus, un brin narquois, de la "chute" de la bourse, j’adresse ce message, solennel et implorant : ne viens pas nous fatiguer avec ça.Pourquoi ? J’évoquerai deux raisons :– tu le dis toi-même, la bourse, c’est le casino. Or, au casino, en deux ou trois coups, (Lire la suite…)